jeudi 25 juin 2009

Ce pourquoi tu marchais


Morning brain


Louise Epstein, qui anime Biblioteket sur la radio publique suédoise, a récemment donné la parole à deux New yorkais bien connus à Stokholm comme à Paris. Durant l'interview et entre deux considérations sur le couple qu'elle forme avec Auster, Siri Hustvedt insiste sur ce moment magique du matin où écrire devient possible. Louise pense alors très fort "i morgon" et l'on a plus peur du suédois.

mardi 2 juin 2009

mercredi 27 mai 2009

Stèle pour le poète né aujourd'hui

Hans Thill, auteur et traducteur allemand animateur du site Poetenladen, a eu l'idée d'honorer des poètes récemment décédés en publiant certains de leurs textes - formant autant de stèles.
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Pourquoi ne pas inverser le geste commémoratif, ainsi rendu au printemps du monde, et honorer le poète né ce matin ? Celui que nous ne lisons pas encore mais dont nous ne pourrons nous passer dans 20 ou 30 ans. Pourquoi pas ?

mardi 26 mai 2009

Ecoutez Dannie Abse



"I want to write something simple"... démarre Dannie Abse, le poète gallois qui a fêté il y a peu les 60 ans de la publication de son premier recueil.
Ecoutez-le donc encore pendant trois jours sur le site de l'émission The Verb.
PS : ceux qui aiment Will Self pourront aussi entendre ce dernier lire, de sa belle voix de basse, l'un de ses textes "psychogéographiques" pleins d'humour sur Dubaï.

lundi 25 mai 2009

Ecoutez Bianca Maria Frabotta


Bianca Maria Frabotta, poétesse et universitaire italienne née en 1946 à Rome, dit elle-même son poème "Acer note 350" sur le site de Fahrenheit, émission littéraire génialissime de la RAI 3.

Mauvais : nous le sommes peut-être encore

Pièce d'un puzzle que l'on appelle écrivain. Charlotte Mendelson auteur à succès de « When we were bad » est une ancienne critique de 35 ans sur laquelle on pouvait, l'année dernière, voir une petite vidéo, tournée pour the Guardian. Charlotte maîtrise sa promotion (aller jeter un coup d'oeil à son impeccable site conçu par un certain Terribleman), sait comment se tient un livre devant la caméra et provoquer cette urgence qui poussera le lecteur potentiel à taper encore son nom sur le Net, l'année d'après. Inspirée, elle raconte combien elle aime raconter ces moments où les gens sont sous pression, évoquer, comme si c'était la première fois que nous l'entendions, sa petite prison familiale.