On se souvient de cette collection de l'éditeur P. J. Oswald, "l'aube dissout les monstres". Et l'on retourne la proposition.
La nuit, protectrice. Le jour, il faut fuir de nouveau. Le réfugié, l'exilé, le sans papier. Le déprimé. La nuit, lisse un peu. Il n'y a que quelques points, là-bas, peut-être des cigarettes qui bientôt s'effaceront; et cet effacement nous rassure.
jeudi 6 septembre 2007
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