On sait peu de choses sur Daíco, musicien de génie qui n'a jamais gravé le moindre disque. Gagnant mal sa vie, jouant dans des boîtes de la fameuse rua Araújo de Lourenço Marques comme O Penguim, il est mort pauvre. Son ami, le grand poète José Craveirinha l'a évoqué dans plusieurs de ses textes. Ricardo Rangel, le père du photo-journalisme mozambicain et immense amateur de jazz est formel : "c'est le plus grand guitariste que ce pays ait connu".
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